Vignette du programme télé Les femmes au balcon

Les femmes au balcon

Canal+ Cinema
00:20 - 02:01 (101 min)
Film
2024
-12
« Les femmes au balcon » nous transporte en plein cœur de Marseille, alors que la canicule s'abat sur la ville et ses habitants. Elise, Ruby et Nicole, trois colocataires aussi inséparables qu'espiègles, voient leur quotidien bouleversé par un événement inattendu. Le séduisant voisin d'en face leur propose de venir trinquer chez lui, une invitation trop alléchante pour être refusée. Qui pourrait résister à la promesse d'une soirée rafraîchissante en si bonne compagnie ?

Mais la légèreté de la fête ne tarde pas à se dissiper. L'appartement se transforme en un théâtre d'événements imprévus et de révélations fracassantes. Les rires s'effacent peu à peu, laissant place à une tension palpable. Le film jongle habilement entre humour et suspense, nous tenant en haleine du début à la fin. Quelles vérités cachées vont éclater au grand jour ?

Dans cette comédie dramatique, la chaleur marseillaise devient le miroir des passions et des secrets des trois héroïnes. Les dialogues vifs et les situations cocasses insufflent une dynamique irrésistible. L'atmosphère est à la fois oppressante et vivifiante, comme un plongeon rafraîchissant dans l'eau glacée après une journée torride. Ce cocktail explosif de rires et de drame promet une expérience cinématographique aussi savoureuse qu'inattendue. Une soirée à ne pas manquer pour découvrir ce que cachent vraiment les balcons de Marseille.

La note du public pour Les femmes au balcon

★★★☆☆ 3,3/5 (91 votes)
Voir la répartition des votes
★☆☆☆☆
5
★★☆☆☆
9
★★★☆☆
23
★★★★☆
32
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Bande-annonce

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-12
Lundi 15 décembre
17:45 - 21:00
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The Brutalist

Dans "The Brutalist", le drame se mêle à l'architecture pour dessiner la fresque d'une vie en quête de renouveau. László Tóth, interprété avec intensité, quitte une Europe meurtrie, porteur de rêves architecturaux aussi ambitieux que l'Atlantique qu'il traverse. La Pennsylvanie devient le terrain de son exil, mais aussi le sol fertile où ses idées prennent racine. Là-bas, un industriel influent décèle en lui un génie du bâtisseur, une reconnaissance qui pourrait bien redéfinir son destin et celui du paysage architectural américain. Le film nous plonge dans les dilemmes d'un homme tiraillé entre son passé européen et son futur incertain. Naviguer entre ces deux mondes est un défi autant personnel que professionnel, une lutte pour préserver son intégrité artistique dans un pays où les opportunités se confondent parfois avec les compromis. László incarne la résilience et l'innovation, deux thèmes chers à toute génération en quête de renouveau. Le réalisateur nous offre une mise en scène robuste et élégante, en écho au style architectural brutaliste que le protagoniste affectionne tant. Le décor d'après-guerre, avec ses rêves brisés et ses espoirs de reconstruction, ajoute une profondeur historique palpable. Chaque bâtiment imaginé par László devient un personnage à part entière, symbolisant la lutte entre le poids des souvenirs et la légèreté de la réinvention. Ce film est un tableau vivant où chaque scène, chaque dialogue, brille par sa profondeur et sa beauté austère. En fin de compte, "The Brutalist" est une œuvre qui questionne la manière dont on construit sa vie, pierre après pierre, rêve après rêve.
Débute dans 17 min
-12
Lundi 15 décembre
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Bird

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Lundi 15 décembre
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Un retour en enfance qui réchauffe le cœur, "La gloire de mon père" s'invite sur Gulli pour une soirée pleine de nostalgie et de rires. Adapté des célèbres souvenirs de Marcel Pagnol, ce film nous transporte dans le sud ensoleillé de la France, entre les collines et les cigales. Le jeune Marcel, campé par le talentueux Julien Ciamaca, découvre les plaisirs simples de la vie de vacances en famille. Aux côtés de son père instituteur, interprété par Philippe Caubère, et de sa mère douce et bienveillante, le petit Marcel s'initie aux joies de la nature. Les lieux regorgent d'aventures et d'amitiés naissantes, mettant en scène un tableau idyllique qui résonne comme une ode à la simplicité. L'oncle Jules, avec sa verve méridionale, ne manque jamais d'ajouter une touche de comédie à ce tableau familial. On se laisse emporter par la beauté des paysages et la douceur des souvenirs d’enfance. Pourquoi ce film continue-t-il de captiver les générations ? Peut-être parce qu'il évoque une époque où l'été semblait éternel et où la vie filait doucement, au rythme des cigales. Un rendez-vous à ne pas manquer pour renouer avec l'essentiel et se rappeler que parfois, les plus grandes aventures commencent au pas de notre porte.
-12
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