Une plongée en apnée dans les eaux troubles de la contrebande. *Les Trafiquants* mêle habilement action et drame dans un décor aussi exotique que dangereux, celui des années 1970 en Corée. La tension est palpable dès les premières minutes, alors que les haenyeos, ces plongeuses traditionnelles, se retrouvent prises au piège entre leur survie économique et les méandres de la clandestinité. Le film, porté par une distribution convaincante, nous guide à travers les choix cornéliens de ces femmes déterminées.
Le tournage, qui a su recréer fidèlement l'atmosphère de l'époque, est un régal pour les amateurs de détails historiques. La réalisation, dynamique et immersive, nous plonge littéralement sous les vagues, là où les trésors interdits attendent d'être découverts. Les enjeux sont grands : l'usine chimique menace non seulement leur mode de vie ancestral, mais également l'équilibre écologique de la région.
Les scènes d'action, haletantes, sont entrecoupées de moments de répit où la beauté des paysages marins sert de toile de fond à une intrigue toujours plus tendue. À travers ce film, c'est tout un pan de la culture coréenne qui se dévoile, rendant hommage à ces femmes aux traditions séculaires. *Les Trafiquants* est un hymne à la résistance et une réflexion sur les conséquences de l'industrialisation galopante, à ne pas manquer.
Le tournage, qui a su recréer fidèlement l'atmosphère de l'époque, est un régal pour les amateurs de détails historiques. La réalisation, dynamique et immersive, nous plonge littéralement sous les vagues, là où les trésors interdits attendent d'être découverts. Les enjeux sont grands : l'usine chimique menace non seulement leur mode de vie ancestral, mais également l'équilibre écologique de la région.
Les scènes d'action, haletantes, sont entrecoupées de moments de répit où la beauté des paysages marins sert de toile de fond à une intrigue toujours plus tendue. À travers ce film, c'est tout un pan de la culture coréenne qui se dévoile, rendant hommage à ces femmes aux traditions séculaires. *Les Trafiquants* est un hymne à la résistance et une réflexion sur les conséquences de l'industrialisation galopante, à ne pas manquer.
Bande-annonce
Si vous aimez Les Trafiquants, vous aimerez aussi
Samedi 6 décembre
19:10 -
21:10
Le courrier de Noël
Hannah pensait avoir tout prévu dans sa vie, mais parfois, le destin a d'autres plans. Alors qu’elle se remet d'une rupture inattendue, cette créatrice d'application de rencontres trouve refuge chez elle pour les fêtes de Noël. Et si ce retour aux sources était l'occasion de repartir à zéro ? Pour redonner un coup de fouet à son entreprise en perte de vitesse, elle décide de s'immerger dans une aventure singulière : une correspondance anonyme. Les lettres qu'elle reçoit sont bien plus que de simples mots sur papier. Elles révèlent des émotions, des rêves, des secrets, et surtout, la magie d'une connexion authentique. Ce qui commence comme un projet entrepreneurial se transforme en quête personnelle, où chaque enveloppe cache une possible révélation. Le film, enveloppé dans la douce atmosphère des fêtes, explore avec tendresse et humour les chemins sinueux du cœur. Portée par une distribution attachante, cette histoire de résilience et de découverte intérieure saura toucher ceux qui croient encore en l'amour véritable. Une belle leçon sur la façon dont les mots peuvent, parfois, changer une vie.
Dimanche 7 décembre
00:20 -
01:20
Court-circuit
"Court-circuit", l'émission phare d'Arte dédiée au cinéma, nous offre une plongée dans trois récits courts mais intenses qui mettent en lumière des destins bouleversés. "Araucaria", réalisé par Jeanne Frenkel et Cosme Castro, nous transporte dans un univers où chaque image est un poème visuel. Leurs précédents travaux étant connus pour leur inventivité, on peut s'attendre à une expérience sensorielle unique. Ensuite, "Double or Nothing" de Tokay Sirin nous confronte à une histoire où les choix sont cruciaux. Ce court métrage, avec son intrigue haletante, nous tient en haleine du début à la fin. Et que dire de "L'homme qui ne se taisait pas" de Nebojsa Slijepcevic ? Ce film explore avec finesse les nuances du silence et de la parole, tout en nous interrogeant sur nos propres silences. Arte, fidèle à sa tradition, propose cette semaine un programme qui fera réfléchir les amateurs de cinéma sur la complexité de la vie et les chemins qu'elle nous fait emprunter. Ces récits, aussi courts soient-ils, résonnent longtemps après le générique de fin. Une véritable ode au cinéma d'auteur.
Dimanche 7 décembre
01:45 -
04:35
Mon amour
David Teboul nous emmène dans un voyage aussi intime qu'universel avec "Mon amour". Un documentaire poignant, où le réalisateur explore les méandres de l'amour et du deuil, en entamant un périple émouvant au cœur de la Sibérie. Les paysages glacés et immaculés ne font qu'amplifier la solitude et la réflexion intérieure du cinéaste, récemment confronté à la perte de son compagnon. Alors qu'il s'enfonce dans ces contrées reculées, Teboul engage des conversations sincères avec les habitants, des âmes résilientes qui ont appris à conjuguer amour et survie au gré d'un quotidien souvent impitoyable. Comment ces individus parviennent-ils à cultiver tendresse et espoir dans un tel environnement ? Leurs témoignages, empreints d'une sagesse parfois désarmante, éclairent les réflexions du réalisateur sur la force des liens humains et le sens de la vie. Ce voyage introspectif, capturé avec une sensibilité rare, nous offre un regard unique sur ce qui nous lie les uns aux autres, même dans les endroits les plus isolés du globe. Un film à vivre comme une odyssée émotionnelle qui résonne bien au-delà des frontières sibériennes.
Samedi 6 décembre
19:14 -
21:00
Bonjour l'asile
Une comédie qui mêle amitié, utopies et immobilier, "Bonjour l'asile" promet des rires francs et des réflexions inattendues. Jeanne, citadine dans l'âme, rend visite à son amie Elisa, qui a choisi de s'installer au calme de la campagne. Mais la tranquillité apparente de ce coin de verdure recèle un joyau méconnu : un château abandonné, devenu le théâtre d'initiatives collectives aussi originales qu'ingénieuses. Elisa est tentée par ce bouillonnement d'idées, mais le quotidien la rattrape. Jeanne, quant à elle, s'interroge : à quoi bon ces rêves champêtres ? Un certain Amaury, personnage intrigant, rêve de racheter l'édifice. Les relations se tissent et se déchirent dans un ballet de quiproquos et de situations cocasses. Entre désir de changement et attachement aux racines, le film explore avec humour et sensibilité les choix de vie de chacun. "Bonjour l'asile" est une invitation à repenser nos priorités, le tout dans une atmosphère légère et vivifiante. Un film qui promet de faire sourire tout en éveillant la réflexion.