Dans "La machine d'Alex", l'inventivité et l'audace sont au cœur de ce court métrage captivant diffusé sur Ciné+ Frisson. Alex, étudiante en BTS biomécanique automobile, se distingue dans un domaine où les femmes sont encore rares. Elle se lance dans un projet de fin d'études ambitieux : la construction d'un moteur en chair artificielle. Une prouesse technique qui jongle avec les limites de l'éthique et de l'inconnu. Mais alors que les rouages de cette mécanique vivante prennent forme, Chloé, sa colocataire, découvre l'obsession grandissante d'Alex pour sa création. La tension monte dans cette chambre d'internat, où se mêlent fascination et inquiétude.
Le film joue habilement avec des thèmes tels que la passion dévorante et la frontière floue entre le vivant et l'inerte. Les nuits de labeur d'Alex deviennent un rituel presque hypnotique, capturant l'attention du spectateur. Les relations humaines sont explorées avec une sensibilité particulière, notamment à travers le regard inquiet mais intrigué de Chloé. Ce court métrage interroge subtilement : jusqu'où peut-on aller par passion ? L'atmosphère est à la fois intimiste et troublante, rendant l'expérience cinématographique aussi stimulante qu'intrigante. Une plongée fascinante dans l'esprit d'une jeune femme prête à repousser les limites de l'innovation.
Le film joue habilement avec des thèmes tels que la passion dévorante et la frontière floue entre le vivant et l'inerte. Les nuits de labeur d'Alex deviennent un rituel presque hypnotique, capturant l'attention du spectateur. Les relations humaines sont explorées avec une sensibilité particulière, notamment à travers le regard inquiet mais intrigué de Chloé. Ce court métrage interroge subtilement : jusqu'où peut-on aller par passion ? L'atmosphère est à la fois intimiste et troublante, rendant l'expérience cinématographique aussi stimulante qu'intrigante. Une plongée fascinante dans l'esprit d'une jeune femme prête à repousser les limites de l'innovation.
Ciné+ Frisson