Chaque voix compte

Plongez au cœur du débat avec "Les grandes gueules", l'émission phare de RMC Story qui fait vibrer le paysage médiatique français. Sous la houlette d'Alain Marschall et Olivier Truchot, les discussions s'enflamment, les opinions s'affrontent et les idées circulent sans retenue. Quelle autre émission peut se vanter d'inviter une telle diversité de voix, de l'ouvrier au chef d'entreprise, en passant par l'artiste engagé ou le politicien controversé ? "Les grandes gueules" ne craint pas de se frotter aux sujets qui fâchent et n'hésite pas à secouer les consciences. Avec une verve sans pareille, Marschall et Truchot apportent toujours ce soupçon de provocation qui fait mouche. Les polémiques ? Elles semblent être le carburant de cette émission, la propulsant chaque jour sous les feux de la rampe. C'est ce cocktail explosif d'authenticité et de franc-parler qui attire et captive. Les débats, souvent enflammés, se déroulent dans une atmosphère électrique, mais toujours dans le respect des règles du jeu. Pourquoi "Les grandes gueules" suscite-t-elle autant de passions ? Peut-être parce qu'elle offre un espace unique de dialogue où chacun a la chance de se faire entendre. Une émission qui, dans le tumulte des voix, parvient toujours à faire émerger des vérités inattendues.

A Montdidier, dans la Somme, l'adjudant-chef de la brigade de recherches de la gendarmerie, Bruno, est appelé pour un vol de kartings, de pneus et de casques. Cette affaire surprenante le mène dans un endroit qu'il connaît bien, l'aire des gens du voyage, un milieu où règne la loi du silence. Entre mensonges et courses poursuites, Bruno doit traverser toute la région pour tenter d'interpeller une famille bien connue des services de police.

Durant cette balade de presque une heure, l'invité dira " toutes ces choses " qu'il n'a pas jamais eu l'occasion de raconter. " J'ai tant de choses à vous dire ", fait la part belle aux témoignages intacts, aux prises de positions et confidences spontanées.

Pour neutraliser un terroriste, interpeller un caïd du grand banditisme ou un forcené retranché, le GIGN, groupe d'intervention de la gendarmerie nationale, est en première ligne. Ce groupe de choc est devenu célèbre en 1994, après la libération des otages de l'Airbus d'Air France sur l'aéroport de Marignane. Pour la première fois, des caméras ont pu suivre la Force Intervention, l'unité d'assaut la plus confidentielle du GIGN. Une centaine d'hommes cagoulés, surarmés et surentraînés, sont dépêchés sur les missions les plus risquées et les plus confidentielles. De leurs repérages discrets sur le terrain, aux interpellations souvent musclées, en passant par leurs moments de vie, une équipe a partagé les missions des hommes du GIGN.