
Dans "The Brutalist", le drame se mêle à l'architecture pour dessiner la fresque d'une vie en quête de renouveau. László Tóth, interprété avec intensité, quitte une Europe meurtrie, porteur de rêves architecturaux aussi ambitieux que l'Atlantique qu'il traverse. La Pennsylvanie devient le terrain de son exil, mais aussi le sol fertile où ses idées prennent racine. Là-bas, un industriel influent décèle en lui un génie du bâtisseur, une reconnaissance qui pourrait bien redéfinir son destin et celui du paysage architectural américain.
Le film nous plonge dans les dilemmes d'un homme tiraillé entre son passé européen et son futur incertain. Naviguer entre ces deux mondes est un défi autant personnel que professionnel, une lutte pour préserver son intégrité artistique dans un pays où les opportunités se confondent parfois avec les compromis. László incarne la résilience et l'innovation, deux thèmes chers à toute génération en quête de renouveau. Le réalisateur nous offre une mise en scène robuste et élégante, en écho au style architectural brutaliste que le protagoniste affectionne tant.
Le décor d'après-guerre, avec ses rêves brisés et ses espoirs de reconstruction, ajoute une profondeur historique palpable. Chaque bâtiment imaginé par László devient un personnage à part entière, symbolisant la lutte entre le poids des souvenirs et la légèreté de la réinvention. Ce film est un tableau vivant où chaque scène, chaque dialogue, brille par sa profondeur et sa beauté austère. En fin de compte, "The Brutalist" est une œuvre qui questionne la manière dont on construit sa vie, pierre après pierre, rêve après rêve.
Le film nous plonge dans les dilemmes d'un homme tiraillé entre son passé européen et son futur incertain. Naviguer entre ces deux mondes est un défi autant personnel que professionnel, une lutte pour préserver son intégrité artistique dans un pays où les opportunités se confondent parfois avec les compromis. László incarne la résilience et l'innovation, deux thèmes chers à toute génération en quête de renouveau. Le réalisateur nous offre une mise en scène robuste et élégante, en écho au style architectural brutaliste que le protagoniste affectionne tant.
Le décor d'après-guerre, avec ses rêves brisés et ses espoirs de reconstruction, ajoute une profondeur historique palpable. Chaque bâtiment imaginé par László devient un personnage à part entière, symbolisant la lutte entre le poids des souvenirs et la légèreté de la réinvention. Ce film est un tableau vivant où chaque scène, chaque dialogue, brille par sa profondeur et sa beauté austère. En fin de compte, "The Brutalist" est une œuvre qui questionne la manière dont on construit sa vie, pierre après pierre, rêve après rêve.
Bande-annonce
Si vous aimez The Brutalist, vous aimerez aussi
Mardi 21 octobre
13:27 -
15:26

The Apprentice
"The Apprentice" nous plonge dans les coulisses de l'ambition dévorante et des manœuvres impitoyables du jeune Donald Trump. Dans un New York des années 70 vibrant de contrastes et de bouleversements, le film nous révèle comment un héritier controversé, sous pression judiciaire pour discrimination, manie ses cartes avec une audace calculée. En enrôlant Roy Cohn, avocat aussi redouté que redoutable, Trump amorce une ascension qui ne laissera personne indifférent. Le duo Trump-Cohn, incarnation du pouvoir sans scrupule, devient rapidement incontournable. Le drame, tout en tension et en stratégie, met en lumière les rouages complexes du monde des affaires de l'époque. La réalisation soignée et le jeu des acteurs retranscrivent à merveille cette époque charnière. L'atmosphère palpable de New York, entre lumières et ombres, ajoute une dimension presque palpable à cette histoire de pouvoir et de risque. Une leçon de détermination qui soulève des questions sur les limites de l'ambition humaine.
Débute dans 11 min
Mardi 21 octobre
15:26 -
17:02

Justice IA
Dans un futur pas si lointain, "Justice IA" propulse le spectateur au cœur d’un thriller haletant où la technologie se heurte à l’éthique. Carmen Costa, interprétée avec brio, se retrouve à examiner une révolution judiciaire : l'intelligence artificielle au service de la justice. Mais cette avancée technologique cache des dessous plus sombres. Quand le créateur du logiciel est mystérieusement assassiné, la tension monte d'un cran. Le film pose une question brûlante : peut-on vraiment faire confiance à une machine pour rendre justice ? Les scènes s’enchaînent avec un suspense savamment dosé, nous tenant en haleine jusqu’au dénouement. Les paysages urbains futuristes ajoutent une dimension visuelle captivante, tandis que les dialogues incisifs prêtent à réflexion. Le jeu complexe des acteurs et une mise en scène soignée font de ce film un incontournable pour les amateurs de sensations fortes. "Justice IA" ne se contente pas de divertir, il nous pousse à réfléchir sur notre avenir technologique. Un thriller qui vous laissera sans voix jusqu'à la dernière minute.
Mardi 21 octobre
21:00 -
22:55

Un éléphant ça trompe énormément
"Un éléphant ça trompe énormément" nous plonge dans les tribulations d'Etienne, un mari modèle, jusqu'à ce que le destin lui joue des tours dans une robe rouge éclatante. Cette comédie culte de 1976, réalisée par Yves Robert, réunit un casting brillant avec Jean Rochefort dans le rôle principal, entouré de Claude Brasseur, Guy Bedos et Victor Lanoux. Le film explore avec humour et finesse les déboires sentimentaux d'un homme en pleine crise de la quarantaine, écartelé entre la routine confortable de sa vie de famille et l'attrait irrésistible de l'inconnu.
L'intrigue, construite avec une légèreté apparente, révèle une profondeur insoupçonnée sur la fidélité et les petites lâchetés du quotidien. Qui n'a jamais rêvé d'une aventure imprévue qui bouleverserait la monotonie habituelle ? Les dialogues savoureux et la mise en scène subtile d'Yves Robert transforment chaque scène en un moment de pur plaisir cinématographique. Saviez-vous que ce film a été tourné en partie dans les somptueux décors parisiens, ajoutant une touche de charme indéniable à cette comédie déjà pétillante ? Entre rires et réflexions, "Un éléphant ça trompe énormément" continue d'éblouir par sa pertinence et son authenticité. On se laisse volontiers emporter par cette belle mécanique du rire, où chaque personnage révèle une part de lui-même que l'on ne soupçonnait pas.
Mardi 21 octobre
13:35 -
15:20

La septième cible
Un journaliste en quête de vérité pris au piège d’un jeu dangereux ? C’est le sort réservé à Bastien Grimaldi dans "La septième cible", un film policier haletant diffusé sur Arte. En pleine nuit d’orage, alors qu’il rentre chez lui, Grimaldi est brutalement agressé par trois mystérieux assaillants. Blessé et déboussolé, il se retrouve plongé dans un monde d'incertitudes. Pourquoi lui ? La réponse semble se cacher derrière les tableaux précieux de sa mère, que des inconnus cherchent à lui extorquer.
Les enjeux grimpent en flèche avec ce chantage infâme. Bastien, interprété par un acteur de talent dont la performance captive par sa justesse, devra naviguer entre menaces et mensonges. La tension ne cesse de monter, rendant chaque moment crucial. Les amateurs de récits où l’adrénaline et le mystère se mêlent trouveront ici leur bonheur. Sous la direction d’un réalisateur qui maîtrise l’art du suspense, chaque scène est un morceau de bravoure.
Arte nous offre une plongée dans une intrigue où chaque révélation percute comme un coup de tonnerre. Ce film, entre l’ombre et la lumière, promet de tenir en haleine jusqu’à la dernière minute. Une soirée palpitante en perspective.
Débute dans 19 min