The Middle (Convocation canapé) S3 (17/24)

René Magritte aurait pu s'inspirer de cet épisode pour peindre son célèbre "Ceci n'est pas un jeu vidéo". Dans "A balles réelles", la frontière entre virtuel et réalité s'effrite dangereusement. L'épisode 8 de la saison 17 de NCIS met en scène Sarah, obligée de laisser son jeune protégé, Phineas, sous la garde bienveillante de Gibbs. Mais pas de répit pour l'équipe du NCIS : un officier de la Navy est assassiné en direct, sur sa chaîne de jeux vidéo. Une énigme macabre que Gibbs et son équipe devront élucider. Les jeux vidéo, souvent considérés comme une simple distraction, révèlent ici leur potentiel dramatique et tragique. Les téléspectateurs fidèles retrouveront avec plaisir le charismatique Mark Harmon dans le rôle de Gibbs, toujours aussi pragmatique et incisif. L'épisode interroge, non sans une pointe de suspense, sur les dangers insoupçonnés du numérique. Peut-on vraiment tout partager en ligne ? Et jusqu'où peut aller la fascination du public pour le sensationnel ? Entre scènes d'action palpitantes et moments de réflexion, cet épisode promet de captiver les amateurs de séries policières. Préparez-vous pour une soirée sous haute tension, où la fiction s'invite dans le quotidien avec une intensité déconcertante.

Dans cet épisode palpitant de "NCIS", intitulé "La règle n°9", l'intensité monte d'un cran avec Gibbs en plein dilemme. La mission qu'il croyait achevée avec le retour de Ziva auprès de sa famille prend une tournure inattendue. Mark Harmon, dans la peau de l'inflexible Gibbs, nous entraîne une fois de plus dans les méandres de son passé et des intrigues qui l'entourent. Ziva, incarnée par la talentueuse Cote de Pablo, laisse derrière elle des questions en suspens, obligeant l'équipe à redoubler d'efforts. Les agents, fidèles à leur réputation, sont sur le qui-vive, prêts à tout pour démêler les secrets enfouis. L'épisode se distingue par une confession poignante : Gibbs révèle à Phineas une vérité douloureuse sur sa mère, ajoutant une dimension émotionnelle à l'intrigue. Ce moment de vulnérabilité met en lumière la complexité des personnages, toujours entre ombre et lumière. Sous la réalisation soignée, chaque scène est un tourbillon de suspense et d'émotion. Préparez-vous à être captivés par cette nouvelle enquête où chaque indice compte et où les loyautés sont testées. Un rendez-vous incontournable pour les fans de la série.

Candice Renoir clôture sa quatrième saison avec un épisode haletant : «Œil pour œil et le monde deviendra aveugle». Au cœur du commissariat, la tension monte d’un cran lorsqu’un psychiatre annonce un futur meurtre visant l’un des membres de l’équipe Renoir. Candice, toujours incarnée avec brio par Cécile Bois, se retrouve face à un défi de taille. Sa perspicacité légendaire sera-t-elle à la hauteur pour déjouer cette sombre prédiction ? La série ne perd rien de son rythme effréné ni de son humour pétillant, même quand l'enjeu est grave. Le commandant Canovas, joué par Raphaël Lenglet, s’éloigne de Candice, ajoutant une note de complexité émotionnelle à l’intrigue. Les relations entre les personnages prennent une nouvelle dimension, explorant la fragilité des liens face au danger imminent. L’atmosphère est électrique, chaque scène savamment orchestrée pour maintenir le suspense jusqu’à la dernière minute. Un final de saison qui promet de captiver et d’émouvoir, confirmant une fois de plus la place de Candice Renoir parmi les incontournables des séries policières françaises.

Un nourrisson inattendu, trois célibataires endurcis et une montagne de quiproquos : voilà le cocktail explosif de "3 hommes et un couffin". Dans cette comédie pétillante, on retrouve Pierre, Michel et Jacques, trois amis inséparables qui voient leur quotidien paisible brutalement chamboulé par l'arrivée d'un bébé mystérieusement déposé sur le pas de leur porte. Qui est la mère ? Pourquoi eux ? Ils n'ont pas de réponses, mais beaucoup de couches à changer. Les situations cocasses s'enchaînent à un rythme effréné. Les trois compères, d'abord désarçonnés par ce bouleversement imprévu, découvrent petit à petit l'art de la paternité — et ce n'est pas de tout repos. Leur maladresse attendrissante face aux pleurs du nourrisson et aux biberons à préparer est source de rires garantis. Mais derrière les gags se cache aussi une réflexion subtile sur l'amitié, la responsabilité et la transformation personnelle. La mise en scène, colorée et rythmée, accentue l'aspect loufoque des situations. Et si l'on s'amuse des tribulations de ce trio improbable, on s'attache aussi à leur évolution. "3 hommes et un couffin" est un film qui sait mêler humour et tendresse, un classique indémodable qui rappelle que parfois, le plus grand des bouleversements peut devenir une source inattendue de bonheur. Un rendez-vous à ne pas manquer sur Gulli, pour une soirée placée sous le signe du rire et de l'émotion.