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Arthur Fleck est de retour et Gotham City tremble encore une fois, mais cette fois-ci, la folie a une compagne. "Joker : Folie à deux" nous replonge dans l'univers sombre et complexe de l'un des personnages les plus énigmatiques du cinéma. Nous sommes en 1983, deux ans après que Fleck ait semé le chaos en incarnant le Joker. En attente de son procès dans un hôpital psychiatrique, une nouvelle relation se tisse, étrange et captivante. Lee Quinzel entre en scène, une patiente qui partage plus qu'un simple séjour hospitalier avec Arthur.
Dans ce thriller psychologique, les frontières entre réalité et hallucination se brouillent. On est happé par l'évolution de leur lien, une alchimie qui intrigue autant qu'elle effraie. Pourquoi ces deux âmes tourmentées semblent-elles inexorablement attirées l'une vers l'autre ? Le film explore la dualité de la folie et de l'amour, dans un ballet où chaque geste, chaque regard est chargé de tension. Le climat oppressant de Gotham devient le théâtre de cette relation ambiguë, une danse sur le fil du rasoir.
Ce nouvel opus promet un suspense haletant et une plongée dans les méandres de l'esprit humain. L'atmosphère est électrique, et chaque scène est un puzzle à décrypter. On se demande à chaque instant si ce duo improbable sera une force destructrice ou l'ultime rédemption. Le charme de "Joker : Folie à deux" réside dans cette ambiguïté, offrant au spectateur une expérience cinématographique inoubliable.
Dans ce thriller psychologique, les frontières entre réalité et hallucination se brouillent. On est happé par l'évolution de leur lien, une alchimie qui intrigue autant qu'elle effraie. Pourquoi ces deux âmes tourmentées semblent-elles inexorablement attirées l'une vers l'autre ? Le film explore la dualité de la folie et de l'amour, dans un ballet où chaque geste, chaque regard est chargé de tension. Le climat oppressant de Gotham devient le théâtre de cette relation ambiguë, une danse sur le fil du rasoir.
Ce nouvel opus promet un suspense haletant et une plongée dans les méandres de l'esprit humain. L'atmosphère est électrique, et chaque scène est un puzzle à décrypter. On se demande à chaque instant si ce duo improbable sera une force destructrice ou l'ultime rédemption. Le charme de "Joker : Folie à deux" réside dans cette ambiguïté, offrant au spectateur une expérience cinématographique inoubliable.
Bande-annonce
Si vous aimez Joker : Folie à deux, vous aimerez aussi
Mercredi 10 septembre
07:48 -
09:10
Rue du conservatoire
Valérie Donzelli retourne sur les bancs du prestigieux Conservatoire national supérieur d'art dramatique de Paris pour une master class qui promet d'être mémorable. Replongeant dans ses souvenirs des années 90, où elle n'avait pas réussi le concours d'entrée, elle retrouve une jeunesse vibrante, pleine de vie et de passion pour le théâtre. Loin d'être un simple exercice académique, ce documentaire se transforme en une véritable exploration des rêves et des défis de futurs comédiens en herbe.
Quand Clémence, une élève de dernière année, sollicite l'aide de Valérie pour filmer les répétitions de "Hamlet", une complicité inattendue naît entre la réalisatrice et cette jeune génération survoltée. La caméra devient alors un témoin privilégié des coulisses de cette création ambitieuse. Les répétitions révèlent non seulement le talent brut des élèves, mais aussi la tension palpable qui anime chaque acteur à quelques jours de la première.
Sous la direction inspirée de Donzelli, ces jeunes artistes redécouvrent l'essence même du théâtre : un espace de liberté et d'expression sans limites. Ce documentaire ne se contente pas de capter des moments de jeu sur scène, il dévoile aussi les rêves et les doutes de chacun. Une immersion fascinante dans l'univers théâtral qui nous rappelle que derrière chaque grand acteur, il y a des années de travail acharné et de passion indéfectible. Un hommage vibrant à l'art dramatique, à découvrir absolument.
Mercredi 10 septembre
09:10 -
11:04
The Outrun
Dans "The Outrun", le spectateur est invité à suivre le poignant parcours de Rona, une jeune femme en quête de rédemption après une vie chaotique marquée par des excès. Alors que sa carrière et sa relation amoureuse s'effritent, Rona choisit de fuir les lumières aveuglantes de Londres pour se réfugier dans la tranquillité des Orcades, ces îles écossaises où elle a grandi. Le film, porté par une atmosphère à la fois mélancolique et empreinte d'espoir, dévoile peu à peu les blessures et les forces de son héroïne.
Les paysages sauvages et indomptés des Orcades deviennent des personnages à part entière, offrant à Rona un refuge propice à la réflexion. On assiste à un véritable ballet entre passé et présent, à travers le retour des souvenirs d'enfance qui se mêlent à ceux des nuits londoniennes. La réalisation, sobre et élégante, sublime ces contrastes et souligne la fragilité de ce nouveau départ.
Peut-on vraiment échapper à ses démons ? Telle est la question que soulève ce drame puissant, tout en nuances. Les personnages secondaires, qu'ils soient membres de la famille ou simples villageois, apportent une chaleur humaine bienvenue, contrebalançant la rudesse du décor. "The Outrun" réussit à capturer l'essence d'une renaissance intime, où chaque petit pas compte, et invite à croire en la capacité de chacun à se reconstruire. Avec une sensibilité rare, ce film nous rappelle que parfois, il suffit de revenir à ses racines pour retrouver la voie.
Mercredi 10 septembre
13:35 -
15:35
La piscine
Sous le soleil éclatant de Saint-Tropez, "La piscine" plonge les téléspectateurs dans un tourbillon de tensions et de passions. Ce film culte réunit un casting de choix avec Alain Delon et Romy Schneider, deux icônes du cinéma français. Jean-Paul et Marianne, couple en apparence parfait, voient leur harmonie vaciller avec l'arrivée inattendue d'Harry, interprété par Maurice Ronet. Harry, ancien amant de Marianne, n'arrive pas seul : sa fille, Pénélope, jouée par Jane Birkin, accompagne cette visite impromptue. Les vacances idylliques prennent rapidement une tournure chaotique, où jalousie et désir s'entremêlent.
Quelle est la véritable nature des sentiments qui lient ces personnages ? Le réalisateur Jacques Deray réussit avec brio à capturer les non-dits et les regards lourds de sens, faisant de la piscine le théâtre de jeux psychologiques intenses. Tourné dans une villa luxueuse où la chaleur estivale semble exalter les passions, le film distille une atmosphère envoûtante et dangereusement séduisante. La caméra s’attarde sur le moindre frémissement de l'eau, symbole des tumultes intérieurs des protagonistes.
"L’ombre du passé et l’incertitude de l’avenir pèsent sur chaque échange, chaque sourire. Un classique du cinéma à redécouvrir pour son ambiance unique et la puissance de son casting en or.
