
Deux heures moins le quart avant Jésus-Christ
Dans la comédie culte "Deux heures moins le quart avant Jésus-Christ", le rire et la satire plongent dans l'antiquité avec une verve irrésistible. Loin des superproductions hollywoodiennes, ce film français nous transporte à Rahatlocum, une colonie romaine, où la tension monte sous le soleil brûlant de l'Afrique du Nord. Michel Serrault, Jean Yanne et Coluche, figures emblématiques du cinéma comique, nous offrent une performance hilarante et inoubliable, mêlant anachronismes et dialogues incisifs.
Le consul Demetrius, interprété avec brio par Serrault, manigance un complot rocambolesque pour mater une révolte naissante, et il se tourne vers un improbable héros : un garagiste nommé Ben-Hur Marcel, campé par Coluche. Cet anti-héros malgré lui se retrouve plongé au cœur d'un mouvement révolutionnaire, transformant chaque situation en quiproquo désopilant.
Avec une scénographie qui se joue des codes historiques, ce film se révèle être une parodie décomplexée de péplums célèbres. Les décors, volontairement kitsch, renforcent le charme rétro et décalé de l'ensemble. L'humour absurde et les jeux de mots fusent, rendant hommage à l'esprit libre et irrévérencieux des années 80.
Qui aurait cru que l'histoire ancienne pouvait être aussi divertissante ? "Deux heures moins le quart avant Jésus-Christ" est un voyage dans le temps où la comédie prend le pas sur la logique, offrant au spectateur un moment de pure détente. Une œuvre qui rappelle que, parfois, se moquer de l'Histoire permet de mieux s'en amuser.
Le consul Demetrius, interprété avec brio par Serrault, manigance un complot rocambolesque pour mater une révolte naissante, et il se tourne vers un improbable héros : un garagiste nommé Ben-Hur Marcel, campé par Coluche. Cet anti-héros malgré lui se retrouve plongé au cœur d'un mouvement révolutionnaire, transformant chaque situation en quiproquo désopilant.
Avec une scénographie qui se joue des codes historiques, ce film se révèle être une parodie décomplexée de péplums célèbres. Les décors, volontairement kitsch, renforcent le charme rétro et décalé de l'ensemble. L'humour absurde et les jeux de mots fusent, rendant hommage à l'esprit libre et irrévérencieux des années 80.
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Mardi 9 septembre
19:25 -
21:00

La nuit se traîne
Étudiant studieux le jour, Mady se transforme en serrurier la nuit, jonglant entre ses ambitions académiques et un métier qui le plonge dans l'univers des clés et des serrures. Mais une nuit, son existence prend un tour inattendu. En ouvrant une porte qui ne devait pas l'être, il se retrouve malgré lui embarqué dans une affaire de grand banditisme. Le suspense monte d'un cran alors que l'avenir de Mady se joue en quelques heures haletantes. Mais qui est cette Claire qui l'a trahi ? Pourquoi a-t-elle choisi ce moment pour se volatiliser, laissant Mady face à une situation explosive ? Ce film, avec son ambiance nocturne et angoissante, nous entraîne dans un dédale d'adrénaline et de révélations. La tension palpable et le jeu des acteurs promettent de tenir en haleine les amateurs de suspense. Une course contre la montre où chaque seconde compte et où les apparences sont souvent trompeuses. Préparez-vous à une nuit où la clé du mystère pourrait bien se cacher derrière la porte d'à côté.
Mardi 9 septembre
22:50 -
00:35

La moutarde me monte au nez
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Ce qui suit est un enchaînement de situations cocasses où les quiproquos s'accumulent, offrant une critique savoureuse des conventions sociales. Cette comédie, ponctuée de dialogues pétillants et de scènes irrésistiblement drôles, joue habilement sur les oppositions de caractères et les retournements de situation. Derrière l'humour, une réflexion sur l'hypocrisie des apparences et le choc des mondes. Le cadre ensoleillé du Midi ajoute une touche bucolique à cette farce, renforçant le décalage entre l'éclat du cinéma et la simplicité de la vie locale.
On se laisse emporter par ce mélange de satire sociale et d'humour débridé, pour le plus grand plaisir des amateurs de comédie.
Mardi 9 septembre
21:00 -
22:47

Speak No Evil
Quand un week-end paisible vire au cauchemar, le film "Speak No Evil" plonge ses personnages, et le public, dans une spirale d'angoisse. Ce long-métrage sur Canal+ Cinema nous entraîne dans l'univers troublant d'une famille américaine qui accepte l'invitation d'une famille britannique, rencontrée sous le soleil d'Italie. Les vacances prennent un tournant inattendu, révélant des tensions latentes et des secrets inavouables. Mais que cache donc cette famille apparemment si parfaite ? L'atmosphère idyllique de la propriété se fissure peu à peu, laissant place à l'inquiétude et la paranoïa. Les acteurs, dans une performance remarquable, nous tiennent en haleine tout au long de cette descente aux enfers. Le suspense est omniprésent, chaque scène savamment orchestrée pour maintenir une tension palpable. "Speak No Evil" interroge les apparences trompeuses et la confiance aveugle, tout en jouant sur nos peurs les plus primitives. Une expérience cinématographique oppressante qui ne laissera personne indifférent.