Wheeler Dealers France

Dans "Le meilleur forgeron", la tension monte d'un cran dès que les flammes des forges s'allument sur RMC STORY. Quatre artisans du métal, à la fois rivaux et passionnés, se lancent dans l'art complexe de la fabrication d'une lame en damas, un défi d'adresse et de précision. Ce défi technique ne se limite pas à l'esthétique : il s'agit de forger une lame aux nombreuses couches, symbole de maîtrise et d'excellence. Le suspense est à son comble alors que seul le meilleur bénéficiera d'un précieux avantage pour le deuxième tour, tandis que le moins performant devra quitter l'aventure prématurément. Et comme si cela ne suffisait pas, les finalistes ont la chance de rentrer chez eux pour relever un dernier défi : recréer une épée mésopotamienne, une occasion unique de lier histoire et savoir-faire. Cette épreuve, à mi-chemin entre compétition et hommage à l'art de la forge, promet de révéler des talents insoupçonnés. Une plongée captivante dans le monde fascinant de la forge, où chaque étincelle peut faire la différence.

Antoine de Maximy reprend son sac à dos rouge emblématique pour une nouvelle aventure en Serbie, dans son émission "J'irai dormir chez vous". Ce troisième périple au cœur de l'ex-Yougoslavie promet des rencontres hautes en couleur et des découvertes inattendues. Loin des clichés de la guerre des Balkans, c'est une Serbie chaleureuse et authentique que l'on découvre à travers ses yeux curieux. À Novi Sad, il est accueilli à bras ouverts, et en bon voyageur, il ne manque pas de goûter aux spécialités locales, y compris l'alcool, avec sa technique qui fait sourire. Mais Uzice réserve quelques surprises, notamment avec la rencontre de Tijana, une jeune peintre dont la connexion au Cosmos intrigue autant qu'elle déroute notre aventurier. Les échanges prennent une saveur mystique, offrant un contraste saisissant avec l'agitation urbaine. Pour clore son périple, Antoine plonge dans la tranquillité des campagnes serbes, où le temps semble s'arrêter. Un voyage qui, comme toujours, mêle humour, humanité et un brin de folie douce.

Remontez le temps et plongez-vous dans "La bande son des années 90" sur France 3, un documentaire vibrant qui réveille les souvenirs de cette décennie inoubliable. Les années 90, c'était une période de contrastes et de révolutions culturelles, marquées par la montée des boys bands et des icônes pop comme les Spice Girls, tout en résonnant des riffs grunge de Nirvana et des beats techno de Corona. Qui peut oublier l'énergie brute de NTM ou l'incontournable présence de Johnny Hallyday ? Mais la musique n'était pas la seule à évoluer ; c'était aussi l'ère des premiers téléphones portables, des modems grinçants d'Internet et des pantalons baggy. Ce documentaire captivant nous emmène aux côtés de figures emblématiques comme Florent Pagny, Patrick Bruel et MC Solaar, qui partagent leurs souvenirs et insights personnels. Etienne Daho et Axelle Red sont également de la partie, livrant leurs anecdotes avec la passion qui les caractérise. L'époque s'ouvre sur la chute du Mur de Berlin, symbole d'un nouvel espoir, et se referme sur le choc des attaques de 2001, marquant la fin d'une innocence collective. L'interprétation de ces événements par des personnalités telles que Gaétan Roussel et Pascal Nègre enrichit ce voyage sonore. Avec une ambiance tantôt nostalgique, tantôt enjouée, ce documentaire évoque le tumulte et l'innovation d'une période qui a façonné le monde contemporain. En résistant à l'oubli, "La bande son des années 90" nous rappelle que cette décennie a laissé une empreinte indélébile sur notre culture et notre sensibilité. Préparez-vous à une immersion totale dans un passé pas si lointain, mais toujours aussi vibrant.

Plongez dans les coulisses du IIIe Reich à travers l'objectif d'Eva Braun, la maîtresse du dictateur Adolf Hitler. Ce documentaire saisissant sur T18 utilise des images rares tournées par Braun elle-même, apportant un éclairage inédit sur l'univers personnel de l'un des hommes les plus infâmes de l'histoire. Ces films, souvent choquants par leur banalité, révèlent un Hitler privé, loin des discours enflammés et des foules en transe. Comment une jeune femme a-t-elle pu se retrouver si intimement liée à une telle figure ? Les images, d'une étonnante proximité, nous montrent un quotidien presque ordinaire, en contraste frappant avec les horreurs de la guerre. Chaque séquence lève un peu plus le voile sur les relations et dynamiques au sein du cercle restreint du Führer. La juxtaposition entre la sphère intime et les ambitions destructrices d'Hitler offre une perspective troublante mais essentielle. Un document unique qui, sans glorifier ses protagonistes, nous force à interroger la nature humaine.