Narvalo

Le suspense atteint son paroxysme dans cet épisode haletant de "Les ombres rouges". Clara, dont le retour bouleverse toutes les certitudes, devient le centre d'une intrigue familiale tendue. La série continue de nous tenir en haleine avec une montée en tension qui ne laisse aucun répit. Une réunion de famille tourne au cauchemar lorsqu'une fusillade éclate, semant panique et confusion. Les secrets enfouis refont surface, révélant des facettes inattendues de chaque personnage. La tension palpable entre eux est magistralement interprétée, ajoutant une dimension émotionnelle intense. Les dialogues ciselés et les rebondissements savamment dosés offrent une expérience captivante. Qui cherche à faire taire Clara, et pour quelles raisons ? Les réponses s'esquissent peu à peu dans une atmosphère sombre et énigmatique. Cet épisode promet de nouvelles surprises et un développement inexorable vers des révélations choc. Ne manquez pas ce thriller palpitant qui ne cesse de surprendre.

Un voyage nostalgique au cœur de la Provence du début du XXe siècle s'offre à vous avec "La gloire de mon père", diffusé sur Chérie 25. Ce film, savamment mis en scène, nous plonge dans l'enfance de Marcel Pagnol, entre rires et émotions. Dans ce récit tendre et pittoresque, Philippe Caubère incarne Joseph Pagnol, l'instituteur passionné, tandis que le jeune Julien Ciamaca joue avec justesse le rôle de Marcel. La complicité entre père et fils se dessine à travers leurs partages quotidiens, renforcée par la réussite scolaire précoce du jeune garçon. Ces vacances estivales à Allauch, village provençal baigné de lumière, constituent le cadre idyllique où s’épanouit l’amitié de Marcel avec Lili, interprété par Joris Molinas. Ensemble, ils explorent la garrigue, façonnant souvenirs et aventures. Chaque scène rayonne de l'authenticité des paysages provençaux, capturant l'essence d'une époque où la simplicité fait le bonheur. Les relations familiales et amicales sont au cœur de cette comédie dramatique, rendant chacun des personnages profondément attachant. Le film, sorti en 1990, est dirigé par Yves Robert, qui parvient à saisir l’âme des écrits de Pagnol. Les anecdotes de tournage en extérieur, souvent tributaire des éléments, ajoutent une couche de réalisme à l'ensemble. Vous laisserez-vous transporter par cette fresque où chaque détail raconte une part de notre histoire collective ? Une œuvre à savourer pour son charme désuet et sa poésie intemporelle.

Plongée dans l'effervescence de Los Angeles des années 1980, "MaXXXine" nous entraîne dans un monde où glamour et horreur se mêlent dangereusement. Maxine Minx, une étoile montante du cinéma pour adultes, aspire à briller sur le grand écran traditionnel. Après avoir échappé à un massacre épouvantable au Texas six ans plus tôt, elle est déterminée à laisser derrière elle un passé tumultueux. Ses efforts acharnés finissent par payer lorsqu'elle décroche un rôle dans une suite de film d'horreur au budget modeste. Mais alors qu'elle entrevoit enfin une lueur d'espoir, un tueur en série, surnommé le Night Stalker, sème la terreur parmi les starlettes d'Hollywood. Le film, en plus de nous offrir une critique acerbe de l'industrie cinématographique de l'époque, nous plonge dans une atmosphère anxiogène où la frontière entre réalité et fiction s'estompe. La tension est palpable, chaque audition devenant un pas de plus vers l'inconnu. La mise en scène joue habilement avec les codes du genre, nous tenant en haleine à chaque instant. Le contraste entre le monde scintillant des paillettes et l'ombre menaçante du danger imminent est saisissant. "MaXXXine" n'est pas seulement un film d'horreur, mais une réflexion sur les rêves brisés et les faux-semblants d'une époque révolue. Un voyage cinématographique captivant où l'horreur n'est jamais loin des projecteurs.

Iman, récemment promu juge d'instruction au tribunal révolutionnaire de Téhéran, se retrouve plongé dans un tourbillon de tensions alors qu'un vaste mouvement de protestation éclate suite à l'assassinat de Mahsa Amini. Face à l'absurdité d'un système injuste, il lutte pour maintenir son intégrité tout en respectant ses obligations professionnelles. À la maison, ses deux filles, Rezvan et Sana, s'engagent activement dans la contestation, tandis que son épouse, Najmeh, tente de naviguer entre les opinions divergentes de sa famille. La situation se complique lorsque l'arme de service d'Iman disparaît, intensifiant son sentiment de paranoïa et de menace.