Plongée dans le tumulte de l'histoire, "Shoshana" nous entraîne dans une danse dangereuse entre amour et devoir, sur fond de tensions politiques à Tel Aviv en 1938. Ce thriller captivant réalisé en 2023 dépeint les déchirements de Thomas Wilkin, un officier britannique épris de Shoshana, la fille de Dov-Ber Borochov. Ce dernier n’est autre que le cofondateur du mouvement sioniste travailliste, une figure incontournable de l’époque. La romance entre Shoshana et Thomas se déroule alors que l'Irgoun, dirigé par le poète Avraham Stern, défie ouvertement les autorités britanniques dans une campagne de violences.
Thomas se trouve dans une position délicate, tiraillé entre ses sentiments pour Shoshana et ses devoirs envers son pays, sous les ordres de l’impitoyable Geoffrey Morton. L’atmosphère est électrisante, pleine d’une tension palpable à chaque instant, où chaque geste et chaque parole peuvent être lourds de conséquences. Shoshana, de son côté, est placée face à un dilemme déchirant : son amour pour Thomas pourrait bien être sa perte, alors qu’elle aspire à la liberté de son peuple.
L'histoire se déploie avec une intensité dramatique qui garde le spectateur en haleine. Les enjeux sont de taille, les choix cruciaux. Entre clandestinité et trahison, "Shoshana" explore les complexités humaines avec une touche de poésie tragique. Un récit où les battements de cœur rivalisent avec les balles et les bombes. Une véritable fresque historique qui interroge sur la loyauté et l’amour au cœur des tempêtes politiques.
Thomas se trouve dans une position délicate, tiraillé entre ses sentiments pour Shoshana et ses devoirs envers son pays, sous les ordres de l’impitoyable Geoffrey Morton. L’atmosphère est électrisante, pleine d’une tension palpable à chaque instant, où chaque geste et chaque parole peuvent être lourds de conséquences. Shoshana, de son côté, est placée face à un dilemme déchirant : son amour pour Thomas pourrait bien être sa perte, alors qu’elle aspire à la liberté de son peuple.
L'histoire se déploie avec une intensité dramatique qui garde le spectateur en haleine. Les enjeux sont de taille, les choix cruciaux. Entre clandestinité et trahison, "Shoshana" explore les complexités humaines avec une touche de poésie tragique. Un récit où les battements de cœur rivalisent avec les balles et les bombes. Une véritable fresque historique qui interroge sur la loyauté et l’amour au cœur des tempêtes politiques.
Bande-annonce
Si vous aimez Shoshana, vous aimerez aussi
Dimanche 20 juillet
20:40 -
22:25

Scout toujours
"Scout toujours", c'est une comédie française savoureuse qui nous transporte au cœur des années 80. Jean-Baptiste Foucret, interprété par Gérard Jugnot, incarne avec brio ce chef scout aussi attachant que naïf. En charge d'une bande de jeunes espiègles, il va de déconvenue en déconvenue dans les pittoresques Cévennes. Qui aurait cru que guider des scouts serait un tel défi ? Avec un bus qui prend feu et une charrette pour seul recours, l'aventure prend rapidement des allures de périple rocambolesque.
Les situations cocasses s'enchaînent, renforcées par la présence de personnages pittoresques. Entre un voisin gitan ombrageux et des rencontres improbables, Jean-Baptiste n'est pas au bout de ses surprises. Le film, réalisé par Gérard Jugnot lui-même, explore habilement les thèmes de l'autorité et de l'incompétence avec une légèreté désarmante. L'humour décalé et les dialogues truculents font mouche, offrant au spectateur une heure et demie de franche rigolade.
La mise en scène joue habilement sur les contrastes entre l'innocence des scouts et le monde adulte, parfois sans pitié. "Scout toujours" reste un témoignage cinématographique de son époque, à la fois tendre et moqueur. Un film à redécouvrir pour ses scènes cultes et son charme indéniable.
Dimanche 20 juillet
22:25 -
00:09

Le grand restaurant
Sous les ors de la capitale, "Le grand restaurant" ouvre ses portes pour une soirée qui promet d'être inoubliable. Ce film de comédie, savamment orchestré par Jacques Besnard en 1966, nous plonge dans l’univers cossu du célèbre établissement de Septime, incarné avec panache par Louis de Funès. Ce maître-queux rigoureux, véritable apôtre de la grande cuisine française, mène son restaurant d'une main de fer. Mais voilà qu'une visite prestigieuse tourne au cauchemar. Un chef d'État sud-américain disparaît mystérieusement après le repas, déclenchant une cascade d'événements aussi rocambolesques qu'irrésistibles.
On se laisse emporter par le rythme effréné et les situations burlesques qui se succèdent, alors que Septime jongle entre quiproquos et investigations. Les dialogues savoureux et les mimiques de de Funès font mouche, comme toujours. Sa confrontation avec les forces de l'ordre et les terroristes qui envahissent ses cuisines transforme le restaurant en théâtre d'une comédie haute en couleur. Le suspense, subtilement dosé, tient le spectateur en haleine jusqu'à la dernière minute.
Ce film, bien que datant des années 60, n’a rien perdu de son charme et de sa capacité à faire rire. En revisitant les codes de la comédie, "Le grand restaurant" parvient à allier légèreté et critique sociale, avec en toile de fond l'art culinaire français. On savoure cette œuvre comme un bon plat : avec délectation et une pointe d'émerveillement. Une pépite à redécouvrir ou à savourer pour la première fois, toujours avec le même plaisir.
Dimanche 20 juillet
20:50 -
22:55

L'Hôtel de la plage
C'est l'été, et pendant que Paris s'endort, L'Hôtel de la plage s'éveille ! Ce film nous transporte dans une charmante station balnéaire de Bretagne où l'atmosphère estivale bat son plein. Les vacanciers affluent, chacun avec ses histoires, ses secrets et ses rêves. Les rires d'enfants se mêlent aux discussions animées des adultes sur la plage. Les protagonistes, aussi divers que colorés, voient leurs chemins se croiser, créant un patchwork d'aventures humaines. La magie des vacances opère : des amitiés se nouent, des amours naissent, des tensions surgissent. Avec une réalisation qui capte la légèreté de l'été et la profondeur des relations humaines, ce film offre une pause bienvenue dans un quotidien parfois trop mouvementé. Laissez-vous emporter par cette bouffée d'air frais, où chaque rayon de soleil semble raconter une histoire. Un film aussi chaleureux qu'une journée à la plage, à ne pas manquer !
Débute dans 17 min
Dimanche 20 juillet
21:00 -
22:55

Le canardeur
Dans "Le Canardeur", Arte met à l'honneur un film policier palpitant des années 70, où l'action et l'humour noir se mêlent habilement. Clint Eastwood, dans le rôle de John "Thunderbolt", magistralement surnommé "le Canardeur", nous entraîne dans un univers où les chambres fortes s'ouvrent à coup de canon antichar. Ce film, réalisé par Michael Cimino, offre aussi la performance mémorable de Jeff Bridges en Lightfoot, un jeune aventurier audacieux qui croise la route de Thunderbolt. Ensemble, ils forment un duo improbable, unissant leurs talents pour retrouver un magot dissimulé, malheureusement englouti par la modernité d'un nouvel ensemble immobilier.
Intrigues, trahisons et retournements de situation sont au rendez-vous. Thunderbolt doit prouver son innocence à ses anciens complices, Red et Goody, campés par George Kennedy et Geoffrey Lewis, et les convaincre de se joindre à un nouveau coup d'éclat. Mais que serait un bon film de braquage sans une préparation minutieuse et des imprévus qui surgissent à chaque coin de rue ? "Le Canardeur" ne déçoit pas. En plus de son intrigue haletante, le film séduit par son ambiance unique, teintée d'une certaine nostalgie pour les années 70, avec des véhicules imposants et une bande-son inoubliable.
Ce film, souvent considéré comme un petit bijou du genre, continue de captiver par sa capacité à allier tension dramatique et moments d'humour décalé. Une œuvre à redécouvrir, qui démontre que les quêtes de fortune et d'amitié ne vieillissent jamais vraiment. Un rendez-vous incontournable pour les amateurs de polar et de grands classiques du cinéma.